Nous ne nous mettons pas d'accord, même les hommes de science qui abordent le sujet des larmes ne semblent pas se rencontrer dans quelque chose de tel banal comme savoir pourquoi il sert pleurer. Par cela, il ne sera pas ce blog de santé, celui que nous établissons une théorie du fait de pleurer, mais oui qu'analyserons certains des points importants des larmes.
D'un côté, nous avons la fonction biologique des larmes et par l'autre la fonction psychologique, mais les deux, dans une profondeur, l'unique qu'ils obtiennent est de nous embrouiller, puisqu'ils ne répondent pas à la question qui nous aborde : pourquoi il sert pleurer.
Les uns pensent que les larmes déchargent après une situation de tension, il décontracte et détache des certaines substances chimiques. Mais un espace, les autres affirment que le fait de pleurer fait que nous sommes plus sans défense et que nous sommes plus vulnérables devant ceux qui nous entourent. Bien qu'il n'arrête pas d'est certain que, après avoir pleuré, quand il est fait dans un groupe, on peut établir de très forts liens d'union entre les personnes qui pleurent. Ici nous arrivons à une conclusion importante. Quand quelqu'un pleure ceux qui l'entourent ils ont l'habitude de montrer son appui, soyez le type de pleurs qui sont. De plus, aussi nous pouvons dire que pleurer sert à nous soulager.
Pleurer sert à exprimer des émotions, des sentiments et à réprimer des pleurs peut générer des problèmes et des dérangements comme l'anxiété. Même le propre Sigmun Freud dit que pleurer est un peu libérateur. Cela peut nous porter à la conclusion de ce que pleurer fait que nous nous relâchons et que nous extériorisons une sensation intérieure. Évidemment, cela dépend du motif par lequel il est pleuré, puisqu'il y a une infinité d'émotions par lesquelles nous pleurons : une peur, une joie, une colère, un stress, une anxiété, un repentir, une angoisse, une douleur, l'amour, la confusion, la confiance, l'admiration, la tristesse, la compassion, la peine, une haine, … Sont beaucoup de sentiments qu'il nous fait pleurer.
On peut détacher l'apport de Kim Bard, un professeur de l'Université de Porstsmouth (Royaume-Uni), qui a dit qu'il y avait quatre facteurs par lesquels les films font pleurer : une tristesse, une fréquence avec la, ils pleurent, les protagonistes, le message positif final et le degré de bonheur de tout le film.
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